Le couperet tombe chez Bombardier, qui a l'intention de sabrer 5000 emplois dans le monde, dont environ 2500 au Québec. L'entreprise a également annoncé qu'elle souhaitait se départir d'actifs, dont le programme d'avion turbopropulsé Q400. La restructuration devrait être complétée d'ici 18 mois et permettre à l'entreprise d'économiser annuellement 250 millions $ US grâce à l'élimination des postes. Alain Bellemare, président et chef de la direction de Bombardier Gabriel Nadeau-Dubois, député de Québec solidaire, sur Twitter